Les travaux de constructions du tronçon matoto Dabompa ont fait coulé assez d’ancre et salive, ont n’en parle encore. Son achèvement hante le jour au jour, plus de deux tiers des usagers qui continu a absorbé une poussière chroniquée. Ces travaux sont lancé depuis 2005, pourtant si tout était entré en ordre et fait dans les règles de l’art, il ne devrait pas durer plus de 16 mois.
Cependant lors d’un entretien accordé dans les colonnes de quelques journaux de la place, le directeur national des infrastructures Elhadj Oumar Barry, avait promis de la reprise des travaux après la saison hivernale. Le temps passe, les usagers reste encore plonger dans la poussière après la nage dans les sordides pendant la saison pluvieuse. Seulement aux dires de son directeur général, El hadj Oumar Barry, l’Etat guinéen n’avait pas honoré ses engagements dans le paiement échelonné des sommes auxquelles elle devrait s’acquitter. Qui a causé l’arrêt immédiat des travaux.
Le projet de construction est scindé en deux lots. Le lot 1 matoto entag confié à l’entreprise Enco 05 et le lot 2 Entag-Dabompa à l’entreprise Sericom. A l’imitation du directeur général, les travaux devraient reprendre encore au moi de mars. Pourquoi l’échéance fin hivernale n’a pas été respectée ? Par la voix de M. Barry, des difficultés rencontrées déjà depuis 2005 pour l’exécution des travaux sont dues au retard dans la libération des emprises qui se traduit au nom paiement à temps des indemnisations de déguerpissement ; parce que le fond n’a pas été mis à temps par le ministère des finances. Retard dans le déplacement des réseaux divers (eaux, téléphone, électricité). Aussi le nom paiement des décomptes par le fond koweïtien à cause de la suspension de la Guinée due au nom paiement de ses dettes.
En effet, pour voir les travaux finir un beau jour et pallier se désagrégement routier très vite, le directeur national des infrastructures, épaulé par le nouveau ministre des transports, a pris des dispositions à cet effet. Ces dispositions consistent à mettre en place une mission de contrôle destinée à négocier un avenant (parce que sans mission de contrôle le bailleur de fond n’aura pas le courage de financer). Assurer le paiement des dettes échelonnées. Relancer le fond koweitien pour recueillir son avis de nom objection. Paiement des indemnités de déguerpissement y compris des exécutoires. Ensuite dans tous les projets du ministère des travaux public, accordé dans l’immédiat, la priorité au tronçon Matoto- Dabompa.